Mes peintures
L'expression libre à travers des couleurs et des émotions.
COLLECTION
VOYAGE AU BOUT DE L'ESPRIT
LA PEUR DE NE PAS DORMIR.
"Il y a des nuits dans lesquelles l’on ne trouve pas le sommeil, où l’on cogite sans s’arrêter. C’est une aubaine de pouvoir créer dans ces moments-là, de pouvoir poser ses idées, ses doutes, ses cris, ses pleurs, ces joies. Le tourment pousse à une réflexion authentique et sans artifice. Un soulagement éphémère jusqu’à la prochaine fois."
40x120.
Toile coton châssis bois.




OPEN YOUR EYES.
"C'est certainement l'amour qui nous rend le plus aveugle dans cette société ou la misère est partout. Ou me tromperais-je en disant que l'amour n'est qu'une lueur et que notre égo nous rend aveugle ? "
100X100.
Toile coton châssis bois.


IMAGINE DARLING.
La chanson de Damien Rice ”cheers darlin’ ” m’a beaucoup trottée dans la tête. Sur une toile recyclée, je me suis assis dans le jardin et tout a commencé à prendre sens. Le mouvement, les mots, les formes…
Je peins à l’instinct et la décharge. Qu’elle soit mentale ou émotionnelle.
Je finirai sur cette phrase d’Antoine de Saint-Éxupery.
"C'est le temps que tu a perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante."
100X100.
Toile coton châssis bois.


"Il est difficile de traverser les périodes sombres, d’être seul face à son esprit. C’est quand tout le monde veut vous aider que vous refusez de ne pas le voir. Être en dehors de soi et voir le temps qui passe. Des nuits à réfléchir sans comprendre pourquoi.Finalement, tout finit par passer en laissant une trace indélébile ou effaçable."
80x120.
Toile coton châssis bois.
RARE 4444.


Un soir d’hiver où tout s’est arrêté, ma solitude s’est dégradée. Faut-il accepter que l’autre soit attiré par l’interdit, quand il s’agit d’un amour concret ? Quoi qu’il en soit, à l’heure des vitrines virtuelles, c’est un mur que nous décidons de construire ou de détruire. C’est une réalité sans lendemain, c’est plein d’espoir et de tristesse. Mais c’est réel et ça nous touche. On n'oublie jamais vraiment le goût d’une bouche qu’on a aimée.
70X90.
Toile coton châssis bois.
INTIME.


Un soir d’hiver où tout s’est arrêté, ma solitude s’est dégradée. Faut-il accepter que l’autre soit attiré par l’interdit, quand il s’agit d’un amour concret ? Quoi qu’il en soit, à l’heure des vitrines virtuelles, c’est un mur que nous décidons de construire ou de détruire. C’est une réalité sans lendemain, c’est plein d’espoir et de tristesse. Mais c’est réel et ça nous touche. On oublie jamais vraiment le goût d’une bouche qu’on a aimé.
90X70.
Toile coton châssis bois.
SOLITUDE DÉGRADÉE.


Le chiffre 4 me suit depuis de nombreuses années. Petit, je devais tout répéter 4 fois, je ne peux expliquer le pourquoi. Est-ce que la petite voix dans ma tête à plusieurs identités. Peut-être bien. Cette toile est la représentation de ces 4 façons de répéter les choses.
80x100.
Toile coton châssis bois.
4 SPIRITS.


Les gens qui passent et te scrutent. C’est étrange d’être regardé mais si plaisant d’observer.
200x100.
Toile coton châssis bois.
OBSERVATION.


La bêtise c'est de la paresse. La bêtise c'est un type qui vit, et il se dit : ça me suffit. Ça me suffit. Je vis, je vais bien, ça me suffit. Et il se botte pas le cul tous les matins en disant : c'est pas assez, tu ne sais pas assez de choses, tu ne vois pas assez de choses, tu ne fais pas assez de choses. C'est de la paresse je crois la bêtise. Une espèce de graisse autour du coeur qui arrive ; une graisse autour du cerveau. Je crois que c'est ça.
Jacques Brel
80X120.
Toile coton châssis bois.
LA BÊTISE.


Est-ce que le mirage est le rêve d’être admiré ? On s’est tous perdus dans un amour qui nous aura marqué à jamais. Parce qu’il arrive de se réveiller la nuit, en se demandant si elle est encore là. Ensuite, la réalité refait surface, et tout ça n’était qu’un mirage. Une silhouette sur des amours passés.
70X90.
Toile coton châssis bois.
MIRAGE.


Affronter ses pensées c’est terriblement déplaisant en revanche regarder les autres faire c’est fascinant.
J’ai un jour écris ce texte sur le coin d’une table de brasserie. J’avais écoute Luchini lisant Céline pendant des heures et sans doute m’a t’il inspiré.
La cliente.
“C’est que je suis rentré plus tôt qu’elle.
J’étais assis face à mon père, nous discutions sans un mot.
Enfui dans mes pensées.
C’est qu’il a toujours eu l’art de me comprendre dans ma médiocrité.
Les gens étaient là mais peu nombreux, j’ai pu comprendre qu’elle connaissait le patron. .
Papy elle l’appelait.
Papy lui donna un tas de serviettes, qu’elle s’est empressée de plier avec une tendresse qui n’était qu’à elle.
J’allais tout de même pas rêver de son physique le soir dans mon pieux. C’était le genre de femme qu’on ne considère pas vraiment. Malheureusement pour elle.
C’est dans sa simplicité abondante qu’elle était fascinante.
Je ne sais pas si les serviettes qu’elle était entrain de plier était un profit du patron ou un geste de bonté venant de sa part.
L’occupation d’une soirée presque comme toutes les autres.
J’ai pourtant entendu qu’elle parlait d’un fils, sans vraiment savoir si c’était le sien.
Tout ce que je savais, c’est que j’en avais une à côté de moi, de serviette. Du jour d’avant sans doutes.
Elle finira sur une bière qu’elle emporta en terrasse un soir de décembre.
Rejoignant un coiffeur avec qui j’avais eu l’occasion de discuter quelques mois auparavant.”
Tom Colaux.
100X100.
Toile coton châssis bois.
PENSÉES DU DEHORS ET DU DEDANS.






Un soir où tu n’étais plus, ou j’étais devenu, sans toi.
Le calme et le bruit d’un silence rompu par la ville. Les lumières qui nous font changer de trottoir.
Ils s'amusaient les passants, sans se regarder.
Il y a plus vraiment de tendresse dehors, on veut se montrer...
30X30.
Toile coton châssis bois.
DISSIMULÉ


Pourquoi ? l’avenir est incertain, façonnons le comme nous l’imaginons.
La lumière d’une fin de journée d’été ou le ciel tire ver mauve.
Pourquoi penser à autre chose dans ces moments précieux ?
Pourquoi, moi, je n’y parviens pas ?
60X80.
Toile coton châssis bois.
WHY ME ?


« À force de renoncer, je suis devenu comme un autre »
« Il y a un moment de la misère où l’esprit n’est plus tout le temps avec le corps ».
70X90.
Toile coton châssis bois.
C'EST PAS RESPONSABLE UNE ÂME


Regarde comme il est beau de vivre, rappelle-toi du bruit du vent et du souffle des éclairs.
60X80.
Toile coton châssis bois.
REGARDE


Et puis voilà.
Elle s’en est allée.
Sans bruit. Comme elle était venue. Un matin flou. Un départ sec.
Plus d’corps sous les draps. Plus rien.
Juste le matelas froid et les draps froissés de souvenirs.
Elle dormait plus.
Elle était partie.
Et moi j’regardais encore.
Le vide.
Comme un con.
100X100.
Toile coton châssis bois.
TE REGARDER DORMIR


Il faisait dans ce cinéma, bon, doux et chaud. De volumineuses orgues tout à fait tendres comme dans une basilique, mais alors qui serait chauffée, des orgues comme des cuisses. Pas un moment de perdu. On plonge en plein dans le pardon tiède. On aurait eu qu’à se laisser aller pour penser que le monde peut-être, venait enfin de se convertir à indulgence. On y était soi presque déjà.
“LF CELINE.”
100X100.
Toile coton châssis bois.
DOUX & CHAUD


On se fait faussement humble dans ces moments là. Mais je suis allé me promener avec eux et modestement ils m’ont conseillé, je savais pas vraiment à quoi m’en tenir et je redonnais le bonsoir toujours aussi enthousiaste sans en savoir plus. Et puis, un soir, mode de rien, elle décida de me dire au revoir sans que je puisse l’oublier. Et ça réchauffe.
100X100.
Toile coton châssis bois.
Un soir, mode de rien, elle décida de me dire au revoir sans que je puisse l’oublier


Tout se mélange dans ma tête, j’étais hors de moi pendant une longue période. C’est fou d’être là sans savoir où l’on est. On se sent rempli de folie et c’est douloureusement viable. La lumière fini toujours par arriver petit à petit.
80X60.
Toile coton châssis bois.
BROUILLARD CÉRÉBRAL
Mon Art
La peinture est pour moi un moyen d’expression instinctif, où je laisse libre cours à ma créativité sans contraintes académiques, capturant des émotions et des histoires à travers chaque coup de pinceau.
Expression artistique libre
Je peins sans limites, explorant des thèmes variés et des émotions profondes.

